Commerce, Portrait

Joaillerie Belle Époque, transmission dans la continuité

C’est une institution montalbanaise qui vient de changer de mains. Jean-Luc Gisclon, le joaillier fondateur de Belle Époque, vient de prendre une retraite méritée après avoir transmis son activité à Chloé Spelleers et Tom Gabillon. Tous deux sont déjà bien connus de la clientèle.

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D'apprentis à la tête de l'entreprise

Ils ont poussé les portes de la boutique en 2018 pour y suivre un apprentissage avant d’intégrer la société comme salariés. Aujourd’hui ils en sont à la tête. Une transmission qui s’est faite en douceur et dans des conditions idéales. Si le fondateur les a accompagnés dans leur formation technique et leur a transmis un savoir-faire, il les a aussi préparés progressivement à prendre sa suite.

Aujourd’hui, le duo se place dans le sillage de ce qui a fait la réputation de l’enseigne : « nous travaillons à l’ancienne, à la main, des matériaux nobles et précieux », expliquent-ils. Si de nouveaux outils sont récemment apparus, la joaillerie reste un métier qui a peu évolué depuis ses débuts et tous deux se plaisent à maintenir les gestes traditionnels et travaillent l’Or 18 carats, le platine, les diamants et pierres précieuses à la main.

Du sur-mesure pour faire briller les yeux

Loin des produits standardisés, les deux joailliers proposent du sur-mesure, adapté aux envies des clients. « Les bijoux de familles ont une histoire, une âme. Ils seront plus tard transmis à un membre de la famille et il est important de conserver cette valeur sentimentale », précise Chloé Spelleers. Tom Gabillon ajoute « notre grande satisfaction, c’est de voir l’émerveillement des clients en découvrant le bijou après une restauration ou une création ».

Nul doute que la Belle Epoque n’a pas fini de faire briller les bijoux et les yeux.

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